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    Les mots, ne savaient plus où se poser ;

    Alors les maux, gagnèrent en puissance. 

    Même l’amour, n’avait plus la rosée

    du clair matin de sa belle innocence…

     

    Les mots-cœur

    devenaient juste moqueurs...

     

    On disait tout – tout ou rien, rien de tout –

    Les mots perdaient leur âme. Et le silence 

    ne berçait plus les maux, devenus fous

    de tant de bruit, de chaos, de non-sens.

     

    Les maux ne pleuraient plus - ne CHANTAIENT plus.

     

    Les mots perdaient le chemin des saisons

    au tourbillon d’un éternel automne : 

    Mots feuille-morte et pages d’illusions.

    Maux étouffés, que n’entendait personne…

     

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  • Pétillant

    papillon

    sur mes lys

    mes crocus

    qui s’enivre

    à leurs lèvres

    et se meurt

    éphémère..

     

    Libellule

    volubile

    en sur-place

    puis s’élance

    spatiale

    dans le ciel

    comme ovni

    devenue !

     

    contre-assonances


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    Murs, que l’on franchissait pour voler quelques mûres,

    Prés, que l’on traversait en se tenant tout près,

    Deux mains, qui se frôlaient en attendant demain,

    Étés, qui finissaient avant d’avoir été…

     

    Mots, que l’on se disait pour apaiser nos maux,

    Toi, l'enfant de gitan, n’ayant pas même toit,

    Moi, qui comptai déjà les semaines, les mois .

    Nous… que le souvenir, avec le Temps, renoue !

     

    rimes-doubles


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    cohabitation harmonieuse avec la chatte, ouf...


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